Nos deux associations (AVEC & CIQ) travaillent dans les mêmes domaines. Nous nous intéressons tous les deux à l’aménagement de notre commune et à la citoyenneté. Nous avons cependant des sensibilités différentes, alors que le CIQ est plutôt intéressé par la vie des quartiers et a des liens étroits avec la fédération des CIQ, AVEC de son côté s’est plutôt orienté vers de développement durable, l’agenda 21 et a créé des liens avec la fédération des AMAP, et le mouvement Aix en transition. Ces deux orientations nous paraissent complémentaires et enrichissent l’approche de notre commune.
Depuis plusieurs années, nos deux associations collaborent étroitement, nous organisons des manifestations communes (conférences, cafés citoyens), les deux présidents siègent dans les deux conseils d’administration, et nous avons décidé récemment de fusionner nos deux bureaux.
Dans un soucis de clarté et de plus d’efficacité nous avons également décidé de fusionner nos sites internet et de créer le site AVEC le CIQ.
Pour l’instant nos deux associations conservent chacune leur entité, leur statut, et leur organe dirigeant. Nous déciderons dans quelques mois si nous pouvons aller plus loin.
C’est facile de trouver que les autres sont incapables de diriger, ou de faire quoi que ce soit.
Que dire ?
y a-t-il jamais eu une nouvelle gouvernance ????
Soit-dit sans être méchant, il faut rappeler que notre principe démocratique se base sur le vote des électeur.
On vote pour une équipe, pour un programme… après il appartient à nos élus de gérer « l’intérêt général de la cité ».
Imaginer que ces élus poursuivraient leurs investigations auprès du « pecus vulgum’ était peut-être une erreur.
Ce que je note en revanche c’est que nos élus (qui sont payés) sont, à priori, au service de leurs concitoyens…
Je vais jouer les candides mais depuis quelques semaines la situation semble s’aggraver… les mardis en fête repris par la mairie au détriment de l’association des commerçants… Jean-Marc Héry qui annonce son ras-le-bol et refuse toute coopération à venir avec la mairie… la CIQ, AVEC… qui prennent acte d’une fin de non recevoir de la municipalité !
Ajoutez à cela la fin de l’OMCJ, le départ précipité de Patrick Humbert du comité des fêtes et qui s’est fait gentiment remercier de la direction des bacchanales du jazz…
cela commence à faire beaucoup !
Monsieur le premier adjoint est manifestement dans la négociation unilatérale (la sienne), et toutes les commissions crées à droite et à gauche pour donner l’illusion qu’on s’intéresse aux dossiers de société paraissent futiles et de la poudre aux yeux.
Je vais conclure en finissant par une très belle citation de Malraux : « la dictature c’est ferme ta gueule… la démocratie c’est cause toujours ! »
Il serait peut-être temps que nos concitoyens se réveillent.
Notre maire… hélàs, ne semble plus en état de diriger.
Mais un maire est élu au suffrage indirect… il appartient donc à ses adjoints de prendre leurs responsabilités. Et depuis quelques jours ces responsabilités paraissent engager l’avenir de la commune.
Cela nous concerne tous. Au delà cela concerne ces élus qui ont peut-être oublié le vote des électeurs.
Il faut maintenant des décisions courageuses…
si Robert Chardon estime que la nouvelle gouvernance est une aberration, qu’il faut gérer en monarque absolu (après tout pourquoi pas qu’il s’estime investi de tels pouvoirs et qu’il pense prendre des décisions irrévocables et légitimes)peut-être nous trompons-nous tous.
Mais un débat paraît au moins nécessaire, pour dissiper notre ignorance de la Res Publica (que maitrise apparemment notre premier adjoint)
Démocratie signifie consultation de ses concitoyens…
Je reste très dubitatif
Qu’est-ce qui vous fait dire que le maire n’est plus en état de diriger ? Si tel était le cas, le préfet ne manquerait pas d’en être averti par les services de la mairie, et, prendrait les mesures qui s’imposent.
Le maire exerce effectivement son mandat, et si certaines décisions vous paraissent prises à l’emporte pièces, soyez convaincu qu’il s’agit simplement de deux attitudes différentes de mettre en oeuvre, mais sur le fond le maire et le 1er adjoint sont en parfaite adéquation. L’un va droit au but et laisse à l’interlocuteur l’impression d’avoir à faire à un mur, l’autre vous écoute, et vous pensez avoir été entendu, mais au final, la même décision est prise.